Notes, Resguado décrescendo et crescendo
Du blues en la septième mineur:
I’m just a poor wayfaring stranger
Des mains noires se sont posées
Sur la guitare, elle a vraiment pleuré
Avec des voyages et des naufrages
En filigrane du côté des yin et yang.
Le loup-garou et sa suite: les loups roses,
L’hippocampe, clé de sol toute hérissée
Et le violet en arrière plan s’assombrissant,
Métaphorisent
Les correspondances rimbaldiennes:
« Silences traversés des mondes et des anges »
Et font revivre les « transparents » de René Char
Troubadours du siècle d’avant,
D’avant qu’ils ne deviennent les routards
SDF, traînés par des rottweilers braillards.
Ça a plus de gueule les loups roses Pour exprimer ce qu’est le blues !
Jean
Rafenomanjato |